lundi 6 octobre 2014

Argent et études: on en parle!

Aujourd'hui, jasons "argent". Ce n'est pas un sujet de prédilection par chez nous, car cela amène souvent des discussion embêtantes et souvent... frustrantes.  Au Québec, parler d'argent est souvent un sujet tabou.  C'est comme une chasse-gardée.  C'est trop risqué de parler et de dévoiler des petites informations pour un sujet si personnel. Les gens ne veulent pas dévoiler leur salaire, le montant de leurs dépenses ou de leurs dettes, etc.  Pourtant, s'il y a bien quelque chose qui aurait intérêt à faire parti de nos sujets de conversation, c'est bien l'argent.  J'ai beaucoup appris avec les années en discutant avec des amis, de la famille, mais aussi avec des spécialistes. On a tous des opinions ou des expériences (bonnes et moins bonnes) sur le sujet. C'est un mal nécessaire que de parler "argent".  Plus nous sommes conscientisés, plus nous serons habiles à bien évaluer nos besoins présents et futurs.  Parents d'enfants (jeunes et moins jeunes), est-ce que vous vous souvenez d'avoir entendu cette fameuse phrase: " Attends quand tu vas avoir des enfants, ça coûte cher! Ou encore, "Petits enfants, petits problèmes. Grands enfants, grands problèmes!".  Moi, ces phrases sont marquées à jamais dans ma mémoire!  Avec le temps qui file, je confirme qu'avoir des enfants, ce n'est pas donné…

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Dans le début des années '90, les régimes enregistrés d'épargne-retraite (REER) avaient encore la côte.  On nous rabâchait les oreilles depuis l'âge de mes 18 ans au fait qu'il était urgent de contribuer si on ne voulait pas vivre pauvre et malheureux dans 40-50 ans.  Comprenant l'importance de l'argent pour notre future retraite, mon mari et moi cotisons depuis ce moment-là.  Pas de gros montants, mais assez pour dire que nous avons un petit fond.  Jasons enfants maintenant. Ce n'est pas quand ils sont bébés qu'on pense à leurs futures études ou à leur futur appartement. On est tellement occupé à les nourrir, à les bercer et à les cajoler. On pense aux couches, aux biberons, aux jouets, aux beaux petits pyjamas, aux nouveaux apprentissages (quasi-quotidiens), mais pas aux études. Voilà quelques années, on m'a conscientisé à l'importance de mettre des sous de côté pour les futures études de mes enfants.  Jamais, au grand jamais, je n'aurais pensé à ça, si tôt dans la vie de ceux-ci. Mon plus vieux avait 2-3 ans quand nous avons pris la décision de contribuer au régime enregistré d'épargne-études (REEE).  Vaut mieux tard que jamais me disait-on. Et lorsque ma cocotte a eu 2 ans, nous avons aussi commencé à cotiser pour son fond d'études.

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Avec mon retour aux études depuis septembre 2011, je suis à même de constater combien il peut être relativement onéreux d'étudier.  De 1992 à 1996, j'ai fait une technique d'architecture au Cégep.  Je n'avais pas beaucoup de soutien financier (mes parents n'ayant pas contribué à des fonds d'études).  Alors, je travaillais tous les vendredis soirs et les fins de semaine afin de subvenir à mes besoins.  Habitant dans un petit appartement, je me suis débrouillée avec les moyens du bord pendant tout ce temps pour arriver aux fins de mois (qui arrivaient trop vites à mon goût!).  J'aurais tellement aimé avoir un coup de pouce financier pour alléger mon horaire de travail afin de me concentrer sur mes études… Mine de rien, j'ai tout de même réussi haut la main!  Aujourd'hui, en septembre 2014, je suis encore étudiante, mais à l'université cette fois-ci.  Je viens d'entamer ma 4e année d'études en enseignement en adaptation scolaire à temps plein.  Je peux vous confirmer que les études supérieures ne sont pas gratuites.  À titre d'exemple, pour 6 cours (18 crédits), j'ai une facture de 1887$ cette session-ci. Et c'est sans compter mes titres d'autobus/métro, mes livres, mes repas et mes cafés (!). Une session s'échelonne sur environ 15 semaines.  Certains diront que c'est moins cher qu'aux États-Unis par exemple.  Oui, c'est vrai.  Mais pour beaucoup de parents, 2000$ pour 15 semaines, c'est encore trop.  Donc, j'avoue que je pense de plus en plus aux futures études de mes 2 cocos (ils ont 11 et 13 ans) et je suis bien contente que nous ayons pris la décision de commencer à contribuer à leurs REEE voilà quelques années.  Je suis soulagée à l'idée de savoir qu'ils auront un bon soutien financier durant ces années de nouveaux défis et de nouvelles découvertes. Personnellement, nous contribuons via des prélèvements bancaires mensuels.  À l'époque, nous avions sollicité les conseils d'un courtier pour nous aider à y voir plus clair. Depuis ce jour, nous sommes entièrement satisfaits. 

J'ai récemment découvert une nouvelle façon d'épargner pour un REEE. Une approche conviviale, simple d'utilisation et facile à comprendre et ce, pour Monsieur et Madame Tout-le-monde.  J'aime ça quand c'est facile!  Je pense que le REEE girafe & cie est tout indiqué pour vous, chers parents, qui voulez avoir une tranquillité d'esprit. 


Un REEE "friendly user", sans risque (vos épargnes personnelles sont garanties à 100%), sans frais et vous pouvez facilement acheter en ligne avec une application rapide (pas de vendeurs/courtiers). Aussi, girafe & cie est une compagnie familiale d'assurance épargne éducation formée par des parents canadiens, pour les parents canadiens.  Il faut savoir aussi que le REEE girafe & cie peut être utilisé pour la plupart des études postsecondaires avec l'obtention d'un diplôme ou d'une compétence professionnelle, y compris les écoles internationales. Je vous entends me dire: "Oui, c'est bien beau tout ça, mais combien ça coûte?".  Une contribution minimale de 25$/mois est exigée. C'est peu maintenant pour avoir une certaine tranquillité d'esprit plus tard ;-).

Concours!!! 
Qui n'aime pas gagner un prix? Vous êtes intéressés (es) à débuter l'épargne-études de votre coco ou de votre cocotte ? Participez pour gagner 1 des 3 cotisations à un REEE girafe & cie, chacune valant 2500$.*  Ça commence bien un fond d'études ça, je vous le dis!


Vous êtes papa ou maman d'un beau coco ou d'une belle cocotte et vous voulez en apprendre plus sur le REEE girafe & cie?  Je vous invite à aller consulter leur site web à l'adresse suivante: girafe et cie.  Profitez-en pour participer au concours!

* Aucun achat nécessaire. Le concours se termine le 15 décembre 2014 à 23:59:59 HE. Ouvert aux résidents canadiens qui ont atteint l’âge de la majorité dans leur province ou territoire avant le 15 septembre 2014 et qui sont le parent, le tuteur, le grand parent, la tante ou l’oncle d’un enfant âgé de moins de 10 ans (au 15 septembre 2014) qui est un résident du Canada (« l’enfant désigné »). Trois (3) prix sont disponibles a gagné, chacun consiste en une cotisation en argent forfaitaire de 2 500 CA dans un compte REEE de girafe & cie de l’enfant désigné. Question réglementaire arithmétique requise. Certaines conditions s’appliquent. Pour vous inscrire, obtenir le règlement complet et les détails du concours, visitez http://girafeetcie.com. 

Divulgation: Ce billet vous a été présenté par girafe et cie par le biais de sheblogs. Cependant, les opinions exprimées sont les miennes.

2 commentaires:

Anonyme a dit...

Ici aussi, REER et REEE font partie de nos vies quotidiennes. Nous avons aussi chacun notre tour repris des études et ... je vais sans doute y retourner bientôt. Ça n'est pas donné en effet mais ça vaut tellement la peine !
Bisous
ps : bon anniv' de mariage ;-)

Carolyne Soulard a dit...

Stef: ici aussi, les REER et les REEE sont inclus dans notre budget. Pas trop le choix avec le prix des études qui grimpent continuellement.
Bonne idée que celle de retourner aux études. Je ne regrette en rien mon choix ;-). Je pense même poursuivre à la maitrise-recherche en septembre prochain tout en travaillant. Et merci pour les voeux ;-)
Bisous